Inévitablement, au cours de toute une vie de travail, il arrivera un jour où vous serez malade ou contraint de vous mettre en arrêt suite à une maladie ou suite à un accident comme une chute au ski lors de vos vacances d'hiver. Outre les soins médicaux, il y a une autre conséquence directe à cet arrêt de travail et à laquelle on pense beaucoup moins, c'est le fait que vous ne serez pas payé durant toute votre absence. Alors, comment palier à ce manque à gagner ?
Prévoir pour éviter un coup dur
Il existe deux grands cas de figure, selon que vous soyez salarié ou non. Si tel est votre cas, certaines conventions collectives prévoient un maintien généralement partiel de votre salaire. Mais dans la très grande majorité des cas, en particulier si vous travaillez pour une PME ou une ETI, il est très vraisemblable que vous n'y ayez pas droit.
En revanche, la Sécurité Sociale verse aux salariés des indemnités après trois jours de carence, c'est-à-dire trois jours durant lesquels vous ne percevrez pas la moindre somme. A partir du quatrième, la Sécurité Sociale vous verse un montant correspond au maximum à la moitié de votre salaire habituel. Une limite de taille toutefois, ces 50% ne pourront pas dépasser 800 € brut.
Si vous n'êtes pas salarié, votre absence de revenu ne sera compensée par aucun organisme.
Dans un cas comme dans l'autre, un arrêt de travail est immanquablement synonyme de chute des revenus. Pour éviter les situations tendues suite à un arrêt de travail de plusieurs jours ou semaines, il existe des formule « prévoyance » proposées par le Cabinet Wilhelm. Ce courtier en ligne vous permet ainsi de trouver facilement et à moindre coût une solution efficace pour ne pas voir vos revenus chuter en cas d'arrêt, et ce, que vous soyez salarié ou à votre compte. Renseignez-vous !
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